Auteur/autrice : Tom Politano

  • SOIS (SOIF)

    Compagnie Feu un rat !


    De : Théophile Dubus

    Production – Compagnie Feu un rat !

    Un cabaret de poche à partir de 7 ans.


    LE SPECTACLE :


    Ici, une personne de 7 ans qui s’appelait Prudence est venue très souvent. Autour d’elle, il y avait les grandes personnes, elles parlaient fort et faisaient des histoires. À sa table, Prudence se tenait très tranquille, elle écoutait et regardait mais surtout : elle écrivait dans son petit carnet. Aujourd’hui, ensemble, on va ouvrir le carnet de Prudence – on verra bien ce qui en sortira. Joué et chanté par une étonnante créature, Sois (soif) est une petite forme tout terrain, entre cabaret, poésie et drag-show. On s’y pose des questions existentielles et rigolotes, on y raconte des blagues, on y chante des chansons, et, autour d’une grenadine, on regarde les choses telles qu’elles sont – et les choses telles qu’elles pourraient être.

    Pistes pédagogiques : l’attention au réel et au quotidien ; le journal intime; le surréalisme et les rêves ; les créatures de théâtre (clowns, clowns blancs, drag-créatures).



    La Compagnie :

    Feu un rat !

    Direction artistique : Théophile Dubus

    Après une formation en jeu à l’ENSATT, Théophile Dubus rejoint la troupe de l’Ensemble Artistique du Théâtre Olympia – CDN de Tours de 2015 à 2017, et joue sous les directions de Jacques Vincey, de Marin Clavaguera-Pratx ou encore de Gwenaël Morin et Philippe Mangenot. En plus de la direction de Feu un rat !, iel collabore régulièrement avec la conteuse et romancière Esmé Planchon et participe aux spectacles et performances de Vanasay Khamphommala. Ses pièces, à l’instar de Variation (copies !), texte lauréat de l’Aide à la Création ARTCENA, de Jeunes fleurs, tristes loups (la comédie musicale !) écrit en 2019 pour le Collectif Lyncéus ou de Brisby (blasphème !) écrit en 2020 pour la compagnie Le Chant de la Louve, ont systématiquement des titres avec des parenthèses et choisissent la légèreté pour aborder des sujets dits graves (comme par exemple : la mort). Après Truelle (une histoire d’enfant triste) et Variation (copies !), Fin (faim) est sa troisième mise en scène.

    www.feu-un-rat.fr

  • L’EXCENTRIQUE

    Des trous dans la tête


    Avec : Guillaume Mika : comédien – Andrea Pasini, chercheur en biologie au CNRS.

    Production – Compagnie des trous dans la tête

    Public à partir du CM2.


    LE SPECTACLE :


    Le Trichoplax est un fascinant animal marin microscopique méconnu, avec une particularité tout à fait étonnante : il change constamment de forme. Comment et pourquoi, on ne le sait pas !
    Équipé d’un aquarium, d’outils de laboratoire et de la scène, Guillaume Mika s’associe à Andrea Pasini, chercheur en biologie au CNRS pour une enquête théâtrale et scientifique, à la fois pédagogique et poétique, explorant les mystères du Trichoplax tout en soulevant des questions sur la perception du monde, l’identité et l’Évolution.
    La forme de cette création a pour vocation de suivre les préceptes du Trichoplax : métamorphique ! Dans tous types de lieux, nous, le chercheur et l’artiste, serons en dialogue avec lui, l’animal, pour ainsi nous explorer nous-mêmes, dans nos différences… et nos similarités.

    Pistes pédagogiques : élargir la compréhension du vivant à partir d’un animal très éloigné de nous.
    C’est quoi un animal, et l’humain dans tout ça ?
    Initiation à l’expérience scientifique.
    Présence d’un scientifique et d’un artiste pour jouer « ensemble »
    Initiation à certains thèmes comme l’Évolution ou la question philosophique de la forme
    Initiation à la microscopie
    Présence d’un microscope et des animaux en direct sur scène
    Bord plateau et temps d’échange : nos métiers, le spectacle, la fabrication de notre projet…



    La Compagnie :

    Des Trous dans la Tête est une compagnie théâtrale adepte de la métamorphose. Recherchant constamment comment allier surprise et singularité pour tous, on y mélange les thèmes et les pratiques avec acuité. accompagnés par des scientifiques, la question des protocoles vient se frotter à notre amour de la fiction, de la comédie, et de la SF. Si on devait avoir une spécialité, ce serait d’échapper aux étiquettes trop collantes.
    Ici, on navigue sur les pages de nos différentes créations, spectacles destinés à la salle ou d’autres formes tout-terrain.
    on y pratique aussi beaucoup de musique, ainsi que des formes artistiques en milieu scolaire.
    Fondé par Guillaume Mika, des Trous dans la Tête est un corps avec plein d’organismes fidèles et réguliers.

    destrousdanslatete.fr

  • LA BALBUTIE

    Juliette Plihon

    La Compagnie La Balbutie est née en 2014 avec la création de son premier spectacle Pleine Lune. Elle développe son travail autour de la voix dans tous ses états et s’intéresse aux relations entre langage, musique, corps et espaces. Elle questionne la place du spectateur en le plaçant au cœur des dispositifs scéniques et en jouant sur ses perceptions, en particulier auprès des jeunes publics et des publics dont la venue est trop rare aux spectacles.
    Fondée par Juliette Plihon, chanteuse et comédienne, la Balbutie s’agrandit et s’enrichit au gré des projets, avec la présence de Laurine Rochut, violoniste, Nicolas Perrin, créateur sonore, Camille Roux, comédienne, Christine Moreau, chanteuse, comédienne et créatrice sonore, Marleen Rocher, créatrice textile, Stéphane Bottard, scénographe et créateur lumière…

  • MÉTACARPIENS

    L’Ensemble à des temps meilleurs

    Propos du spectacle en devenir :

    Un rapport de force asymétrique.
    La pièce se déroule pendant le combat de boxe qui oppose Nikki à Frida.
    Nikki rêve de devenir professionnelle depuis des années, mais son palmarès mitigé ne laisse pas vraiment présager d’une carrière prometteuse. Ses proches doutent de son mental, la jugent trop douce, trop empathique, pas vraiment cohérente avec son projet de vie. Mais la rencontre de ce soir est décisive pour Nikki, si elle gagne elle pourra
    prétendre à un avenir, elle aura fait ses preuves, l’espoir lui sera permis.
    Dans l’arène Frida est terrible, implacable. Le défi qu’elle représente paraît
    insurmontable. Frida la domine sur tous les plans, et à chaque nouvelle reprise elle inflige un véritable calvaire à Nikki, redoublant de force, de coups et d’os métacarpiens qui craquent.
    C’est le récit d’un cassage de gueule en règle, le récit d’une domination par la force ainsi que du traumatisme de celle qui la subit. Nikki refuse d’abandonner, elle veut pouvoir se tenir sur le même ring que celle qui
    la martyrise, elle veut cette dignité là, même si pour cela elle doit encaisser une grande violence, elle en a le droit et elle n’y renoncera pas.
    Par manque de force brute, Nikki ne peut pas se contenter de sa colère. Pour tenir le choc elle doit chercher plus loin que cette ire qui la presse et la pousse à l’erreur, au-delà du mot et de l’émotion, elle doit absolument faire quelque chose, elle doit renverser le monde, elle doit se soulever.

    La compagnie :

    La compagnie l’ensemble à des temps meilleurs, fondée par Ferdinand Barbet qui en est l’auteur et le metteur en scène, mène depuis 2013 un travail autour de textes contemporains et classiques. L’actualité et la question sociale sont au coeur de nos choix. Nous prétendons
    que les auteurs d’aujourd’hui doivent être défendus, ils impliquent une connexion à la réalité et l’invention d’une langue dont la première des vertus est de donner au théâtre son caractère présent. Les classiques eux, permettent une autre liberté, leur légitimité s’impose d’elle-même, nous pouvons nous immiscer entre les lignes, écrire de nouvelles pages,
    comme une corne d’abondance dramaturgique.
    La compagnie a participé aux festivals du Jeune Théâtre National en 2014 et au festival Fragments en 2015 avant de devenir compagnie associée au Centre Dramatique National de Reims. Nos spectacles ont ensuite été soutenus par les festivals En Acte(s), Actoral,Lynceus ou encore la société de production Agoram.

    L’ensemble à des temps meilleurs.

  • LA PERMANENCE DES RÊVES

    Cie la permanence des rêves

    Le propos du spectacle en devenir :

    Il s’agit du récit de la marche des femmes en colère, une colère phénoménale née de leur peur dans l’espace public. Ce récit est pris en charge par Paradis, une femme venue de nulle part qui s’est installée en haut d’une colline pendant trois jours et trois nuits. Autour d’elle, quatre personnages qui seront confrontés à cette parole fulgurante et avanceront ensemble, tant bien que mal.

    La compagnie en est à sa première création. Pour l’instant le désir est de monter les textes issus de Catherine Morlot, la directrice artistique. Deux autres textes, l’un fini, l’autre en chantier, attendent d’être sortis de leur tiroir. Le désir est aussi de fidéliser une équipe.

  • COPENHAGUE MATÉRIAU (titre provisoire)

    Le pavillon 33

    Propos du spectacle en devenir :

    1er pas d’une recherche en cours, le propos de ce projet sera développé lorsque le projet prendra corps.

    La compagnie :

    Le pavillon 33 a été créé en 2017 par Sylvain Gaudu et Antoine Gautier, Le pavillon 33 est engagé dans une recherche où le sensible dialogue avec le politique. Convaincus que le théâtre est un espace d’émancipation et
    de réflexion, nous cherchons à créer un lien direct et complice avec le public en développant une approche mêlant poésie, réalisme et questionnements sociaux.

    https://lepavillon33.fr

  • PRINCESSE DE PIERRE / ROUGE DENTS

    Cie Verba pictures

    Propos du spectacle en devenir :

    Princesse de pierre et Rouge dents sont deux pièces de Pauline Peyrade tirées du recueil Portrait d’une sirène qui emprunte à l’univers des contes de fées pour dépeindre des personnages féminins traversées par des forces plus cruelles encore que celles de leurs « grandes sœurs » des contes.

    Dans Princesse de Pierre, Eloïse est en proie à l’hostilité de ses camarades de classe; dans un monologue intérieur adressé aux autres autant qu’à elle-même, « Eloïse la Sans-Amis » se débat contre les agressions et dessine les mécanismes à l’œuvre dans ce rapport du tous contre un.

    Dans Rouge dents, Gwladys est confrontée à une voix intérieure qui lui dicte des règles sur la mode à suivre et l’image qu’elle doit projeter pour inspirer l’envie et l’admiration. Entre soumission et rébellion, Gwladys cherche sa place dans un monde qui ne semble régi que par le regard des autres.

    En mêlant théâtre et danse, Mohand Azzoug crée un pont entre ces deux textes et donne forme aux combats singuliers de ces deux figures féminines.