Les Concerts littéraires ont pour ambition de faire vibrer les mots sur des rythmes alliant pop et électro, un pas de côté pour faire entendre des écritures libres et engagées, le désir de faire sentir une pulsation vivante et puissante. Après avoir mis en musique Le Ciel ouvert de Nicolas Mathieu et son souffle poétique, les Concerts littéraires proposent de faire entendre La Realidad de Neige Sinno, récit épique, sincère et lyrique, quête d’une destination impossible.
La compagnie :
L’ÉTAT DES CHOSES est une structure créée par Julien Allouf dans un désir de croiser ses parcours d’acteur et de photographe. Après une formation au CNSAD et des collaborations avec différents metteurs en scène : G. B. Corsetti, Y. J. Collin, L. Lagarde, I. Shaked, F. Barbet, T. Jolivet… il fonde la compagnie L’IMPOSSIBLE avec Clément Bondu et engage un travail autour de l’errance et du voyage dans des formes qui mêleront théâtre et musique; s’ensuivront deux créations: ACTE ZÉRO et DESERTION (Jour 0) qui tourneront à La comédie de Reims – CDN, au Théâtre de la cité internationale, au Théâtre Paul Scarron – Le Mans, à l’Entracte – scène conventionnée de Sablé-sur-Sarthe, ainsi qu’au festival d’Avignon. En août 2014, désireux de pousser plus avant sa recherche, il décide de partir quatre mois sur les traces du roman Les Détectives sauvages de Roberto Bolño un boitier Nikkormat à la main, et engage un processus d’identification avec le personnage principal du livre dont il retracera et photographiera le parcours de Mexico City à Ciudad Juarez (ville frontière aux portes de États-Unis). À son retour, la rencontre par hasard de Bernard Plossu, qui le prend sous son aile, donne naissance au projet MEXICO/Sur les traces des Détectives sauvages… qui sera exposé à l’Institut français d’Amérique latine de Mexico à partir du 14 septembre 2017. Il travaille actuellement au projet EUROPIA/Nothing important to say rilly qui sera exposé dans le cadre du festival Reims scène d’Europe en février 2018.
Production – L’état des choses Coproduction – La maison de la poésie
LE SPECTACLE :
Les Concerts littéraires ont pour ambition de faire vibrer les mots sur des rythmes alliant pop et électro, un pas de côté pour faire entendre des écritures libres et engagées, le désir de faire sentir une pulsation vivante et puissante. Après avoir mis en musique Le Ciel ouvert de Nicolas Mathieu et son souffle poétique, les Concerts littéraires proposent de faire entendre La Realidad de Neige Sinno, récit épique, sincère et lyrique, quête d’une destination impossible. Un grand merci à Neige Sinno et aux éditions POL pour leur confiance.
L’ÉTAT DES CHOSES
’ÉTAT DES CHOSES est une structure créée par Julien Allouf dans un désir de croiser ses parcours d’acteur et de photographe. Après une formation au CNSAD et des collaborations avec différents metteurs en scène : G. B. Corsetti, Y. J. Collin, L. Lagarde, I. Shaked, F. Barbet, T. Jolivet… il fonde la compagnie L’IMPOSSIBLE avec Clément Bondu et engage un travail autour de l’errance et du voyage dans des formes qui mêleront théâtre et musique; s’ensuivront deux créations: ACTE ZÉRO et DESERTION (Jour 0) qui tourneront à La comédie de Reims – CDN, au Théâtre de la cité internationale, au Théâtre Paul Scarron – Le Mans, à l’Entracte – scène conventionnée de Sablé-sur-Sarthe, ainsi qu’au festival d’Avignon. En août 2014, désireux de pousser plus avant sa recherche, il décide de partir quatre mois sur les traces du roman Les Détectives sauvages de Roberto Bolño un boitier Nikkormat à la main, et engage un processus d’identification avec le personnage principal du livre dont il retracera et photographiera le parcours de Mexico City à Ciudad Juarez (ville frontière aux portes de États-Unis). À son retour, la rencontre par hasard de Bernard Plossu, qui le prend sous son aile, donne naissance au projet MEXICO/Sur les traces des Détectives sauvages… qui sera exposé à l’Institut français d’Amérique latine de Mexico à partir du 14 septembre 2017. Il travaille actuellement au projet EUROPIA/Nothing important to say rilly qui sera exposé dans le cadre du festival Reims scène d’Europe en février 2018.
Mucien.nes : Pierre Lavandon , Nicolas Subréchicot , jeanne-Sarah Deledicq
Production – Les papillons électriques Coproduction – Le 104 – L’Azimut.
LE SPECTACLE :
« Je contiens en moi une bête, un ange, et un fou, et ma quête concerne leur fonctionnement, et ma problématique est leur victoire et leur asservissement, leur renversement et leur soulèvement, et mon travail est leur expression. » Dylan Thomas Was Dylan Thomas the first rock’n’roll Poet ? Patti Smith 1942 : Dylan Thomas se voit proposer des rédactions et des lectures de scenarios pour une émission à la BBC intitulée « Early one morning », mais Thomas le clown, le chien parmi les fées, donne progressivement à entendre la musique mystérieuse de son écriture, de ses poèmes… c’est le commencement des « poetry readings – poésie performances ». On y entend l’amour éperdu du son de la langue et la façon dont à travers lui le sens des mots est à la fois débusqué et perdu. C’est par la mise en scène de sa propre voix, et de son personnage d’ivrogne extravagant, qu’il conquiert le public et lui donne à l’époque l’aura d’une rock star. Dylan deviendra, par-delà l’écriture, l’acteur de sa poésie : à travers des performances publiques et radiophoniques révolutionnaires. Il invente sans le savoir un mode de résistance qui aura un écho phénoménal pour la « Beat Generation ». Avec ce projet, je veux redonner un corps à l’invention du poète gallois Dylan Thomas (1914-1953), figure dissonante de son époque. Sur une scène, un concert, qui sera l’artifice pivot pour révéler ce que Dylan nous raconte. À partir d’une création musicale live, d’un choix de poèmes, de lettres d’amour, de fragments d’interviews, d’archives radiophoniques et d’extraits de la nouvelle – One Warm Saturday – Un samedi brûlant dans une traduction inédite de Kelly Rivière – nous tisserons au plateau notre histoire de Dylan Thomas : nous y seront toutes et tous chanteur, musicien, narrateur, poète fou d’amour, jeune homme ivre sur une plage, dans un parc ou dans un bar de Swansea, prostituée, barman, estivant, humble et presque inconnu, amour rêvé, fantôme bruyant dans un escalier… Comme Francis Bacon a cassé la figuration pour fabriquer de la présence réelle, Dylan casse la logique du langage pour donner à entendre ses images vraies. C’est à partir de cette transgression que je construis mon projet : trouver des espaces, des proportions, des distorsions, faire entendre une voix, des voix : faire voir et entendre au plateau cette prose inondée d’images. Être au carrefour du mouvement des corps, des mots qui s’abandonnent à la musique. Cette musique qui impose le présent, qui découpe le temps, qui parle sans nommer, qui du désespoir ou de la jubilation mène à la transe.
LES PAPILLONS ÉLECTRIQUES
L’idée de cette compagnie est de réunir une équipe pluridisciplinaire avec des domaines d’expertise différents, ici chanteur.euses, musicien.nes, acteur.rices, traductrice, dramaturge, linguistes qui se réunissent/se rencontrent autour d’un projet .La compagnie propose la création de formes musicales qui permettent d’explorer la musicalité des textes grâce à la rencontre entre la voix parlée et la voix chantée, la musique et la poésie. Par ce médium, elle cherche à interroger le plurilinguisme, la question de la traduction et la polyphonie au plateau avec comme axe principal la poésie anglaise.
Vendredi 12 décembre à 20h et samedi 13 décembre à 18h
Texte : Georges Feydeau écrit en collaboration avec Maurice Desvallières Adapté par Nathalie Bensard Mise en scène : Nathalie Bensard Avec : Salim-Eric Abdeljalil – Émilie Baba – Louise Dupuis – Johanna Korthals-Altes – Julien Storini – Catherine Vuillez
Production – Compagnie la Rousse Coproduction – le Théâtre du Beauvaisis – Scène Nationale, le Théâtre Victor Hugo à Bagneux, les Théâtres de Maisons-Alfort, le Théâtre le Hublot à Colombes.
La compagnie La Rousse est conventionnée par la Direction Régionale des Affaires Culturelles d’Île-de-France – Ministère de la Culture et de la Communication et le Conseil Régional d’Île-de- France.
LE SPECTACLE :
Le mariage de Barillon débute par un mariage en bon et due forme : celui de Barillon célibataire invétéré et d’Aglaé jeune fille innocente mariée par sa mère Frédégonde, au caractère bien trempé. Feydeau, comme dans toutes ses pièces vient y glisser un grain de sable pour que toute la machine s’enraye. Les personnages deviennent fous, les situations sont inextricables et le public est en suspens. Pour vivre cette aventure avec le public, la mise en scène prend le parti de considérer les spectateurs comme les invités du mariage et de leur donner une place de choix dans la représentation théâtrale. Ils devront au même titre que les personnages se laisser guider dans cette fantaisie jubilatoire. Costumes, discours, cérémonies, droits et devoirs, traditions, usages, coutumes, de la cérémonie à la mairie jusqu’à l’ouverture du bal, nous revisitons le pathétique et le barbare, le tragique et le comique. Le kitch et l’éternel de la cérémonie de mariage. Feydeau construit ses personnages avec un regard acerbe, une vérité cruelle et un regard critique. Ils sont beaux et affreux, irresponsables et victimes, infantiles et autoritaires. Ce sont des clowns, des pantins, des humains. Ils sont irrésistibles. La société qu’ils incarnent, elle, est totalement patriarcale. Feydeau la tord. L’envie de Nathalie Bensard est de la distordre pour interroger les stéréotypes de genre. Bouleverser les rapports de pouvoirs des hommes envers les femmes. Renverser les rôles et créer un point de vue en négatif au sens photographique et révéler ce qui est sourd et persistant dans les mécanismes de domination. Ce qui se niche dans les plis, dans les détails de nos comportements. Ce qui se perpétue dans les traditions, ce qui se transmet dans l’éducation, ce qui s’impose dans nos schémas de société.
Pour vivre cette aventure avec le public, la mise en scène prend le parti de considérer les spectateurs comme les invités du mariage et de leur donner une place de choix dans la représentation théâtrale. Ils devront au même titre que les personnages se laisser guider dans cette fantaisie jubilatoire.
La Compagnie :
La démarche artistique Depuis 2004 la compagnie La Rousse destine ses créations théâtrales, principalement des pièces d’auteurs contemporains, au public jeune et adolescent. Elle est également intéressée à l’idée d’expérimenter des formes et des propositions qui décloisonnent les publics comme les artistes. L’ADN de la compagnie est de partager avec les publics des expériences théâtrales, de partir de l’intime et du sensible pour parler d’injustices, d’inégalités, souvent au sein de la famille. Mais aussi du pouvoir de l’imaginaire, de l‘humour et des mots, pour affronter le monde. Choisir de faire du théâtre Jeune Public est également un positionnement politique tel qu’était le théâtre populaire de Jean Vilar. Il s’adresse à toutes les générations et à tous les milieux sociaux. Il est le garant d’un public démocratique, éclectique et multiple. C’est dans cette optique que la compagnie considère également ses créations tout public
Les actions culturelles La compagnie cherche à concevoir pour chaque action culturelle, un geste artistique en accord avec les structures qui l’accueillent, auprès des adolescents, des écoliers de primaire, des familles et des publics éloignés de l’offre culturelle. La compagnie a mené en résidence au Théâtre des Bergeries à Noisy-Le-Sec, le projet LIRE DIRE qui fait découvrir les écritures théâtrales contemporaines jeunesse aux élèves des écoles élémentaires. Au Théâtre du Beauvaisis, la compagnie a imaginé des actions qui s’inscrivent dans le cadre » Culture – santé » à l’hôpital et en Ehpad, ainsi que des projets dans les écoles, collèges, centres de loisirs, et conservatoire. La compagnie a, dans le cadre de ses résidences à Dieppe, Pontault-Combault, Trappes, Dijon, créé des formes légères, des évènements, des propositions artistiques éphémères, des interventions en direction de nombreuses structures : Centres sociaux, Ehpad, collèges, lycées, médiathèques, cinémas, théâtres.
Les résidences Résidence artistique à D-S-N Dieppe (76) en 2009 Résidence d’implantation à Pontault-Combault (77) de 2012 à 2014 Résidence au théâtre des Bergeries de Noisy le Sec (93) de 2019 à 2022 Artiste associée à la Scène Nationale de Beauvais (60) de 2019 à 2023 Résidence artistique triennale en milieu scolaire en partenariat avec le théâtre Victor Hugo à Bagneux (92) de 2023 à 2026. Artiste associée à la Coupe d’Or à Rochefort (17) de 2025 à 2028
Nathalie Bensard – Directrice artistique
Après avoir été dirigée comme comédienne par Laurent Pelly, Laurent Cantet, Marc François, Peter Watkins, Hélène Alexandridis, Jacques Vincey, Vincent Rouche, Thierry Bedart, Marc François, Hubert Colas et après avoir participé à de nombreuses créations collectives avec La station Miao, Label Z, La chorale Lila Fichette, Laura Benson, Nathalie Bensard crée la compagnie La Rousse, qui destine ses créations théâtrales au Jeune Public.
Autrice Spécimens, 2019 | Le plus beau cadeau du monde, 2017 | Midi la nuit, 2015 | La vie c’est pas du cinéma, 2015 | J’entends du bruit à l’intérieur, 2014 | M’aime pas, 2013 | A vue de nez, 2012 | Trouble, féérie en chantier, 1995 | George une vie de chien, George une vie de chat, co-écrit avec Laura Benson
Metteuse en scène Avec la compagnie La Rousse Les filles ne sont pas des poupées de chiffon – Le plus beau cadeau du monde – Spécimens – Micky & Addie, de Rob Evans – Virginia Wolf, de Kyo Maclear – Un oeil jeté par la fenêtre, de Philippe Dorin – À vue de nez – Sur les pas d’Imelda, de Mike Kenny – La princesse au petit poids, de Anne Herbauts – Dans ma maison de papier, j’ai des poèmes sur le feu, de Philippe Dorin – Sacré Silence, de Philippe Dorin – Troubles, féérie en chantier. Avec d’autres compagnies VF avec Florence Pelly – George une vie de chien et George une vie de Chat compagnie Barnaby & Co avec Laura Benson – Herodias, de Flaubert, compagnie À Voix Haute – Que cherchent-ils exactement, Label Z – Le grand amour, création musicale – La reine d’un jour – L’ampleur des dégâts, création musical, Eric Lareine – Le Because du Why, Piano panier et la Chorale de Rue Lila Fichette avec la compagnie Deux qui + est.
LA F.E.T.E se propose d’être un festival uniquement dédié aux écritures théâtrales jeunesse.
LE PROGRAMME :
Jeudi 27 novembre Bjik, de Christian Bobin, adaptation de Maïa Jarville – Compagnie de la ligne Maman is watching you – Supernova compagnie Vendredi 28 novembre Créatures de Johanna Hess – Compagnie La passée L’excentrique de Guillaume Mika – Compagnie des trous dans la tête Samedi 29 novembre Cendrillon – Scopitone & Co Sois Soif de Théophile Dubus – Compagnie Feu un rat Dimanche 30 novembre Journée des autrices et des auteurs avec : Fabien Arca Marcos Caramès-Blanco Sandrine Nicolas Pour des Lectures, Installations, Ateliers Pour les écrivains en herbe avec une Scène Ouverte Lundi 1er décembre Présentations professionnelles de projets en devenir Session de Gwendoline Soubelin – Compagnie Jabberwock Cheval de Sandrine Nicolas – Compagnie Echos tangibles Petit parleur de Fabien Arca Teen play de Marcos Caramès-Blanco ERACM Ensemble 32 étape dirigée par Nathalie Bensard Silence boulevard de Simon Delattre – Rodéo Théâtre Mardi 2 décembre Une fois j’ai failli de Émilie Baba – Compagnie Marée basse Zola … pas comme Émile de Forbon N’Zakimuema
Texte : Tom Politano Mise en scène : Tom Politano et Myrtille Bordier Avec : Myrtille Bordier
Production – Supernova Compagnie Coproduction – Le Hublot – Collectif Spécimens.
POUR RÉSERVER :
LE SPECTACLE :
Sam est une adolescente. Comme tous les gens de son âge, elle va au lycée, à des amis, des histoires d’amours, des peines, des passions, des peurs et des révoltes. Comme tous les gens de son âge, Sam a un téléphone qu’elle ne quitte que très rarement. Et comme beaucoup de gens de son âge, elle est espionnée. Ses parents ont installé dans son portable un logiciel espion qui traque ses faits et gestes : ses textos, ses appels, ses photos, ses déplacements et peut-être plus encore. Elle n’a pas d’intimité et pourtant, comme tout le monde, elle a des choses à cacher. Elle essaye alors de se rendre invisible pour préserver son jardin secret.
Maman is watching you s’inspire de l’article « Mes darons sont des espions » paru dans Libération le 25 avril 2023 et, de façon plus lointaine, de 1984 de Georges Orwell. Nous voulions traiter des dérives de la surveillance des adolescents légitimée et banalisée sous prétexte de les protéger. Même si la convention des droits de l’enfant assure le droit à la vie privée, aucune loi n’interdit à un parent de « surveiller un enfant à son insu » et cela semble, d’après un site de logiciel espion, être « un choix idéal pour parents débordés » et une bonne manière de « concilier travail et parentalité ». Il ne s’agit pas ici, de faire le procès des parents qui installent des logiciels espions dans les téléphones de leurs enfants mais plutôt d’interroger la relation entre parents et adolescents, de se demander quelles sont les raisons de la perte d’une confiance mutuelle et surtout de savoir s’il existe la possibilité de rétablir un dialogue.
L’adolescence est une période déterminante dans la vie d’un être humain. C’est un moment de vie intense fait de premières fois, d’expériences et d’affirmation de soi où l’on demande souvent dans un cri, un grand besoin d’autonomie et d’espace. Mais comment construire sa personnalité, s’épanouir et grandir sous le regard inquiet et inquisiteur des parents ? Aurions-nous le même comportement et les mêmes agissements si nous nous savions regarder et observer ? Dans notre fiction, Sam n’a pas d’intimité et se sait espionner. Et pourtant, comme tout le monde, elle a des choses à cacher. Elle essaye alors de se rendre invisible et de préserver son jardin secret. Comme dans 1984 où le héros loue une chambre au-dessus d’une brocante pour vivre librement son amour, Sam trouve son salut dans un lieu caché, un lieu secret où elle peut être elle-même
LA SUPERNOVA COMPAGNIE
Myrtille Bordier et Tom Politano ont été formés à L’Ecole Régionale d’Acteurs de Cannes. A leur sortie en 2013, ils intègrent le collectif permanent de la Comédie de Reims-CDN et travaillent comme acteurs aux côtés de Rémy Barché et de Ludovic Lagarde. En mars 2018, Myrtille Bordier créait à la Comédie de Reims Lève toi et Resplendis ! Une pièce co-écrite par cinq auteurs dont Tom Politano. Ce premier spectacle marque le début de leur collaboration. Ils fondent la Supernova Compagnie en février 2018. Les deux acteurs, tour à tour metteur en scène selon les nécessités des projets, travaillent à partir des écrits de Tom Politano abordant des thématiques actuelles qu’il inscrit souvent dans un univers anticipé. En 2019, Ils créent 50°Sud ou la Tragique Histoire de l’Homo-Sapiens-Occidentalo-Climatisé, une forme courte en extérieur de 20 min traitant du changement climatique. En mars 2020, ils conçoivent Supernova, un voyage poétique et science fictionnel au Grand Parquet à Paris. En parallèle de La Femme Saumon, une fable queer sur fond écologique créée en février 2025 au NEST-CDN de Thionville, il travaille à Maman is watching you, un spectacle court et tout terrain à destination du jeune public sur le quotidien d’une adolescente espionnée par ses parents via son téléphone portable.Depuis 2021, La Supernova Compagnie est co-directrice du Théâtre le Hublot à Colombes aux côtés de la Compagnie la Rousse et de la Très Neuve Compagnie.